Après le succès du Cercle de Whitechapel et des Voyageurs du crime, Julien Lefebvre récidive avec le troisième opus de sa trilogie, L’Heure des assassins, une nouvelle comédie policière riche en rebondissements, dont l’action se situe au début du XXe siècle, dans l’univers feutré d’un théâtre londonien.
31 décembre. La bonne société se presse au théâtre Somerset pour la traditionnelle soirée du Nouvel An.
Tout en haut du bâtiment, les invités privilégiés profitent des salons privés du propriétaire, le magnat Richard Somerset.
Alors que la clochette résonne pour appeler les spectateurs dans la salle, ils sont alertés : monsieur Somerset gît sur son balcon.
L’intervention du petit groupe n’y peut rien, monsieur Somerset est mort.
Tout à l’action, tout le monde a oublié que le personnel ferme à clef les salons pendant les représentations et se trouve enfermé. Frappes aux portes et cris vers la rue n’y peuvent rien, personne ne les entend en ce soir de festivités.
Des signes montrent que la victime a été empoisonnée. Un autre invité tombe malade. La peur grandit.
Et si cette réunion improvisée n’était pas un hasard ?
Et si la porte n’avait pas été fermée de l’extérieur ?
Alors que les échos du spectacle joué plus bas résonnent et que la neige commence à couvrir la nuit londonienne, la soirée de fête change radicalement de ton. Rires, peur et enquête vont se mêler jusqu’à ce que Big Ben au loin sonne l’heure des assassins…