Pépito Matéo nous invite à partager son goût pour le langage, pour l’ambiguïté des mots et les malentendus.
À travers cette pseudo-conférence, prétexte à toutes les excentricités, il pose aussi un regard sensible sur l’humanité et ses différences.
Nous y découvrirons les conséquences d’un drôle d’imbroglio qui va nous mener d’une piste de ski à un lieu de rétention administrative propice à faire ressurgir des souvenirs d’enfance.
Des personnages croqués dans la réalité surgiront avec leurs histoires «pas piquées des hannetons». On y entendra des paroles saisies sur le vif, des dérèglements de grammaire, des traductions en porte-à-faux, des anecdotes à l’emporte-pièce, voire des petits contes à brûle-pourpoint et des façons d’utiliser le vocabulaire pour dire les choses de la vie, histoire de faire tenir debout un petit théâtre de la parole en toute complicité avec le public.
On ressort revigoré de cette leçon de français aussi drôle que captivante !
Coproductions, accueils en résidences et soutiens : Théâtre l’Aire Libre (Saint- Jacques de la Lande, 35), Festival Mythos (Rennes, 35), Théâtre des Sources (Fontenay-aux-Roses, 92), La Maison du Conte et le Théâtre de Chevilly Larue (94), Festival du Conte et Maison de l’Oralité (Ville de Capbreton, 40), Communauté de Communes Maremne Adour Côte Sud (40), Union Régionale des Foyers Ruraux de Poitou-Charentes (79), Théâtre Berthelot (Ville de Montreuil, 93), La Mouche (Ville de Saint-Genis-Laval, 69)
Remerciements : Soizic Desnos et l’association DIDA – D’ici ou d’ailleurs (35), Julie Métairie – Mobile Home (75), Le Théâtre de Chelles et le CADA de Brou (77), le groupe des apprenants de l’ADEB de Capbreton (40) et Marie-José Germain qui a favorisé ce projet dès le début
« Egal à lui-même, Pépito Matéo excelle comme toujours dans le maniement des mots avec un texte impeccable, tout en subtilités linguistiques.» Le Monde « Des histoires absurdes et cocasses qu’il se plaît à nous restituer, sans nous faire la leçon. Car c’est un beau parleur, un audacieux bavard, un maître des mots.» Télérama |